Non, non, non, je ne vais pas reparler des sujets précédents!
Aujourd’hui, j’ai envie de parler de mes ami(e)s! Avant que je rencontre l’informaticien de mon cœur, ils comptaient énormément… Ils comptent encore aujourd’hui, mais c’est différent.
Du plus lointain d’où je me souvienne, j’ai toujours eu des ami(e)s…mais les amitiés les plus marquantes se sont créées à l’adolescence. C’était la première vraie amitié, celle qui était fusionnelle. Les deux filles avec qui j’ai passé toutes ces années, je les considérais comme mes sœurs… Nous ne faisions rien les unes sans les autres… C’est dingue quand on y repense….
L’arrivée au lycée fut déroutante pour moi. Je perdais tous mes repères : nouvel établissement, nouveaux élèves, nouveaux professeurs et énormément de classes… La classe de seconde fut une année un peu difficile car il m’a fallu un temps d’adaptation. Même si ce fut éprouvant pour moi, c’est aussi grâce à ces années que j’ai pu rencontrer des personnes importantes pour moi (qui sont encore présentes dix ans après) et qui m’ont permis de m’accepter comme je suis avec mes qualités et mes défauts. Ils ont été ceux qui m’ont poussé dans mes retranchements et qui m’ont permis de m’affirmer et d’être celle que je suis aujourd’hui. J’ai pu grâce à eux passer outre ma peur de déranger et montrer à tout le monde que je connaissais des choses et que j’étais aussi capable que d’autres.
L’arrivée à la fac (surtout à Amiens) m’a permis de rencontrer des amies fidèles et qui compteront toujours pour moi: mes tchopines amienoises! On ne se voit plus souvent, mais elles auront toujours une place particulière dans mon cœur!
Aujourd’hui, je pense que mon réseau s’est construit… Petit à petit d’autres personnes se sont greffées à ce noyau dur grâce notamment à l’informaticien… Des personnes qui sont importantes pour moi… Les parasites sont partis et j’en suis ravie, je suis plus sereine et je me sens bien entourée de toutes ces personnes qui m’apprécient et que j’apprécie en retour.
http://www.penelope-jolicoeur.com/
Du temps ensemble, on en passe jamais assez (Brokeback Mountain)
